C’étaient les 48 heures des Arts
Après deux reports, une quasi-annulation, une re-mobilisation, d’innombrables mails et des galères d’orga, ça y est, on l’a fait ! Du 8 au 10 octobre, les 48 Heures des Arts 2021 ont été l’occasion pour le BdA d’accueillir et de célébrer la culture et les arts à l’ENS. Retour sur un weekend de folie :
Vendredi 8 octobre :
Les 48 heures ont commencé sur les chapeaux de roues grâce au travail incroyable des clubs de danse du BDS qui ont accepté de se produire malgré des conditions un peu moins optimales que d’habitude. On envoie énormément d’amour à PLS qui a quand même fait de son mieux pour éclairer le gymnase et rendre hommage aux danseurs‧ses.
Après ce spectacle fabuleux, les participant‧e‧s ont eu la joie de pénétrer en K-Fêt pour la première fois depuis plus d’un an pour célébrer sa réouverture à l’occasion de la soirée Fluo des 48 heures ! Merci à la K-Fêt, au Boum et à PLS pour leur réactivité impressionnante.
Samedi 9 octobre :
Si les DJ ont continué à mixer toute la Nuit pour les 48h du Boum, les 48h des Arts n’ont repris que samedi midi. Le club Ecriv’ENS a proposé une mise en voix de textes rédigés par des étudiant‧e‧s, accompagnée au piano. Deux étudiant‧e‧s ont ensuite réalisé un atelier poétique sous forme de cadavre exquis et de collage.
En première partie de soirée, le club Bouffe a su régaler les spectateurices grâce à un menu concocté spécialement pour l’occasion. Au même moment, le concert des 48h débutait : se sont succédés la seule et unique Fanfare de l’ENS, le BdA de Chimie ParisTech et le studio Nina Simone de Stains. Les jeunes performer ont su charmer les oreilles des nombreux‧ses auditeurices, qui les ont vivement applaudi !
Ce après quoi les spectateurices, dont le sang bouillonnait dans les veines au rythme des percussions, ont pu aller se défouler sur le dancefloor de la K-Fêt pour la deuxième et dernière soirée des 48 heures.
Dimanche 10 octobre :
Le lendemain, les fêtards lève-tards eurent le plaisir d’aller déguster un brunch au Pot servi par le Club Bouffe (quelle brioche, mes ami‧e‧s, quelle brioche !). Dans l’après-midi, les spectateurices eurent le choix entre une projection cinématographique en partenariat avec le FIFO, et une pièce de théâtre de et avec Tom Bouchardon, J’ai dix-huit ans.
Le festival s’est clôt avec la fin des 48 heures de mix consécutives du Boum, atteignant pour la première fois les 2 jours de DJing consécutifs.
Le BdA tient à remercier tous les clubs qui se sont démenés pour rendre ce festival possible : PLS, bien sûr, mais aussi le Boum, la K-Fêt, les clubs de danse, le club Bouffe, le ciné-club, et Réflex, sans qui cet article n’aurait pas d’illustrations ! Plus généralement, un énorme merci à tous‧tes celleux qui ont aidé, et à tous‧tes les participant‧e‧s !
On vous aime,
Le BdA